Vous aimez lire les articles de La Presse. C’est gratuit, ça vous plait mais… tout récemment le journal a imposé une limite mensuelle de lecture de 4 articles. Sans quoi vous devez vous abonnez.
Vous recevrez cet avertissement qui vous indique le nombre d’articles gratuit à lire au courant du mois. Nous jugeons cela agaçant.
Tout d’abord ce que nous allons vous révéler n’est pas illégal. Nous le faisons aussi pour aider les consommateurs québécois qui actuellement se retrouvent pour plusieurs avec des baisses de revenus de leur ménage.
Aussi, nous croyons que les grands médias sont largement et suffisamment subventionnés par les différents paliers de gouvernement au Canada. Ils n’ont pas à imposer une limite de lecture, d’autant plus qu’ils nous garrochent de la publicité à outrance. Comme toute entreprise au fil des décennies, ils n’ont qu’à s’adapter à leur temps.
Ainsi si vous utilisez le navigateur Brave sur votre PC ou ordinateur portatif, vous n’aurez plus la limite de lecture imposée par La Presse.
Ce navigateur de plus en plus adapté, que nous jugeons fort controversé, vous permet une plus grande liberté et d’être aussi à l’abri du traçage publicitaire qui se fait par les grandes agences de pub virtuelles, donc Google.
Là où nous sommes moins d’accord avec les concepteurs de Brave, c’est que par défaut, vous ne verrez presque pas de publicité. La publicité nous la jugeons importante car elle permet à des plus petits entrepreneurs de se démarquer grâce aux revenus qu’elle leur apporte.
Mais le navigateur Brave n’est pas illégal en soi, seulement immoral dans quelques-uns de ses aspects.
Nous devons avouer par contre, que l’expérience de visite avec le navigateur Brave, chez les sites de médias comme TVA Nouvelles, le Journal de Montréal, le Journal de Québec ont grandement été apprécié. Ces médias utilisent à outrance la publicité, Brave va peut-être finir par les modérer dans leur comportement publicitairement déviant.
Finirons-nous un jour par parler de La Presse au passé. Possiblement, mais nous doutons que ce soit à cause de Brave mais davantage au fait que l’entreprise n’aura pas su s’adapter à son temps.